














Le navire
Après avoir passé plusieurs heures sur les Acantilados del Infierno – les falaises de l'enfer – sur la côte asturienne, à écouter le son des vagues et du vent, j'avais du mal à trouver une composition assez intéressante à mes yeux. Mais quand les nuages se sont enfin écartés et que les contreforts des montagnes des Picos de Europa sont sortis du brouillard, cette image s'est révélée. Le rocher central m'a fait penser à un navire dont la proue se dresse fièrement face à l'océan Atlantique.
Après avoir passé plusieurs heures sur les Acantilados del Infierno – les falaises de l'enfer – sur la côte asturienne, à écouter le son des vagues et du vent, j'avais du mal à trouver une composition assez intéressante à mes yeux. Mais quand les nuages se sont enfin écartés et que les contreforts des montagnes des Picos de Europa sont sortis du brouillard, cette image s'est révélée. Le rocher central m'a fait penser à un navire dont la proue se dresse fièrement face à l'océan Atlantique.
Après avoir passé plusieurs heures sur les Acantilados del Infierno – les falaises de l'enfer – sur la côte asturienne, à écouter le son des vagues et du vent, j'avais du mal à trouver une composition assez intéressante à mes yeux. Mais quand les nuages se sont enfin écartés et que les contreforts des montagnes des Picos de Europa sont sortis du brouillard, cette image s'est révélée. Le rocher central m'a fait penser à un navire dont la proue se dresse fièrement face à l'océan Atlantique.